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 FIC Broly le Super Guerrier

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Black_Mass_Priest
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MessageSujet: FIC Broly le Super Guerrier   FIC Broly le Super Guerrier EmptySam 2 Juil - 12:03

Je copie une partie du 1° post , et ce double prologue ( j'ai gardé la première version ) sera accompagné du 1° chapitre.

Allez, je vais refaire le film 8 à ma façon, quitte à effectuer quelques changements au niveau de la trame du manga.Je signale également qu'il s'agit de MON Broly, pas celui du film. On va voir ce que cela donne.

Voici le prologue dont la fin sera double car j'avais deux idées différentes au départ, enfin bref : je vais me démerder.


PROLOGUE :

Trois jours avant le Cell Game :

Bulma et son père travaillaient avec une prudence extrême sur le corps mécanique de C-16 : ils devaient s’attendre à quelques « précautions » mécaniques du docteur Géro car ce cyborg était incomplet après sa sortie de sa cuve, semble-t-il. En regardant les plans des cyborgs, Bulma ne put s’empêcher de frissonner et de soupirer, appartenant au domaine de la science : elle se rend compte que l’intelligence ne rime vraiment pas avec la sagesse. Certes, ce savant était un génie dans la robotique, tout comme, hélas, il excellait dans la folie, réduite à son sens le plus strict du terme. Sa mort était tragique, tué par ses créatures. Au moins, cela servira d’avertissement aux autres qui ne reconnaissent pas leurs erreurs.En revanche, elle trouva surprenant ce cyborg : il ne semblait pas agressif, à en croire le résumé de Krilin et de Végéta : les animaux pouvaient l’approcher sans qu’il ne songe à leur faire du mal. Elle eut un demi-sourire : un être presque artificiel en bon terme avec la nature, elle a rarement vu cela. Quelle ironie : le docteur Géro ne voulait peut-être pas qu’on y touche, ou jugeait inintéressant de le terminer à cause de cela. Mais d’après le plan, il semblait effectivement incomplet La fille des Briefs renforça sa prudence car il se pourrait que ce docteur chercherait à piéger ses inventions, au cas où quiconque s’en empare, ose récupérer son soi-disant génie soit puni de mort.

En effet, son père remarqua un objet situé au niveau de la cage thoracique de l’endosquelette de métal, près du cœur. Une pièce cylindrique avec le symbole du Ruban Rouge gravé dessus. Elle est connectée à certains circuits principaux du corps cybernétique. Bulma exécute un zoom à ce niveau du cœur et le remarqua à son tour. En regardant les plans, les deux scientifiques remarquèrent que ce robot semble avoir des réserves d’énergie supérieures à C-17. D’ailleurs, Tien Shin Han avait vu que C-16 avait résisté à Cell alors que celui-ci était devenu plus fort que le cyborg et Piccolo. Mais il est certains que ce cyborg cachait autre chose, en témoigne cet objet. Bulma, en femme de science, ne mit pas longtemps à se poser LA question : « Que fait cet objet dans C-16, et dans quel but ? ». Elle posa la question à voix haute, et la réponse mit encore moins de temps à arriver :

« C’est sans doute, d’après l’ordinateur, une puissante bombe, un système d’autodestruction, répondit Mr. Brief. Le docteur Géro devait surement avoir une idée derrière la tête, vu qu’il a crée de puissants Cyborgs.

_ Attends, tu veux dire…que le docteur Géro aurait tout fait, tout prévu pour que Goku soit éliminé par ce cyborg ? »

Son père acquiesça. Donc, le cyborg possédait une arme inédite, une option supplémentaire au cas où Goku pouvait tenir tête contre les cyborgs et aurait une chance de les vaincre. Ce savant fou était aussi paranoïaque : il voulait tout prévoir, quitte à détruire la Terre, ou lui causer des dégâts irréversibles. En effet :

« Mmh. Cette bombe est très puissante. Une surface de 100 km au minimum partirait en fumée diagnostiqua Bulma. Et apparemment, le climat, ou autres, en seraient déréglés.

_ Je me demande si cette bombe est vraiment là pour tuer Goku, comme le commande son programme. renchérit son père. Je crains que la vengeance de Géro voulait aller au-delà de Goku, comme si il voulait montrer le pouvoir destructeur du Ruban Rouge. Cette arme est trop dangereuse, même si elle serait utile contre Cell : nous ne pouvons pas nous permettre de causer un tel sacrifice, déjà que le futur de Trunks est catastrophique. »

Bulma finit par être d’accord. Et vu que Goku et ses amis s’entrainent d’arrache pied, pourquoi s’encombrer avec un gadget dont ils étaient à peine certains des conséquences ? Ils commencèrent par chercher à enlever la bombe, mais c’était beaucoup trop risqué : les circuits principaux étaient en jeu, chaque pièce était relayé. Le docteur voulait peut-être s’assurer à ce qu’elle soit au maximum de son potentiel explosif, ou à ce qu’il soit impossible de la retirer. A la place, ils se contentèrent de désactiver le détonateur et de couper les fils reliés à la charge : cela pouvait toujours exploser en cas de violent choc. Mais au moment où Bulma allait utiliser son tournevis pour toucher au détonateur, une voix retentit dans l’interphone :

« Maman !! Viens vite : je crois que mon autre moi est malade !

_ Quoi ??! J’arrive mon chéri !! »

Bulma accourut avec son père qui referma les ouvertures du corps de N°16. Au salon, le bébé claquait des dents et était en sueur et en larmes. Végéta fut à cheval entre l’inquiétude et l’agacement : le bébé allait mal et c’était quand même son fils dont il aurait à s’occuper plus tard, mais ses pleurs lui cassaient un peu les oreilles. Allait-il attendre qu’il ait 7 ans pour l’endurer afin d’en faire un Super Saiyen fier et fort ?
Mais pour l’heure, il s’agissait de se ruer vers les tiroirs où se trouvent médicaments et matériel de soin. Le petit garçon avait même vomi, et il fallut tout nettoyer et purifier l’air. Le médecin arriva et son diagnostic fut formel : 38 de fièvre alors que le petit avait à peine plus d’un an. Les médicaments furent administrés au plus vite et le docteur recommanda la grande prudence et mettre l’enfant dans un environnement plus sain. Bulma décida de le surveiller et de s’occuper de sa santé, avec Végéta qui se voyait bien assurer une grande descendance. Le père de Bulma ne pouvant s’occuper de cette bombe seul décide seulement de se pencher sur le reste du travail sur N°16 et de remettre ce travail au plus tard. Mais l’état de santé de Chibi Trunks fut préoccupant et les deux savants ne purent continuer cet ouvrage, et le père de Bulma sans se douter que l’issue du combat contre Cell allait changer de façon sensible.

Cell Game :

Goku ayant déclaré forfait, Gohan est envoyé au combat. Goku, malgré le calvaire de Gohan, refuse toute intervention : avec sa colère, il sera en mesure de vaincre la créature ultime de Géro.
Encore fallait-il que Gohan le sache : n’aimant pas la violence et n’étant pas au courant du plan, de son père, il demeure incapable de renverser la marée. Tout ses amis ne savaient plus quoi faire. N°16 prit une décision : il doit se sacrifier pour tuer cette abomination indigne du progrès et de la science. Krilin parla alors à Goku :

« N°16 ! Goku ! Il faudra se dépêcher : Bulma et son père voulurent désactiver la bombe, mais ont oublié de le faire. Le système d’autodestruction est si puissant qu’il pourra ravager 100Km de diamètre et causer d’autres dommages à la Terre ! »

N°16 est abasourdi : Bulma a failli ruiner sa solution de neutraliser définitivement Cell. Mais d’un autre côté, devait-il sacrifier la nature qu’il semblait aimer pour écarter ce monstre ? Goku, lui, était aussi craintif : la Terre était menacé dans les deux cas. Il ne fallait pas que cette explosion ait lieu sur Terre. Il demanda conseil à Kaio :

« L’espace est le seuil endroit où tu pourras les téléporter. Dans la galaxie de l’Est, tu trouveras une planète où je sens des énergies, probablement des soldats de Freezer qui se sont dispersés après sa mort. Mais la planète ne possède pas assez d’oxygène pour que tu t’y attardes : tu risques de mourir asphyxié et Les orages de feu y sont fréquents : c’est une planète mourante ! »

Goku n’eut plus de temps à perdre et indique le plan. Mais ailleurs, dans une petite île, Bulma est horrifiée : elle a négligé son travail et risque la catastrophe, vu la puissance du système de N°16.
Goku se jette sur Cell, qui le remarqua en riant :

« Que t’arrive-t-il ? On dirait que cela ne se passe pas comme prévu. Mais puisque tu tiens à ton fils, autant vous réunir pour votre voyage vers l’au-delà !! » Et il se prépare à se mettre en position pour les transpercer en même temps, mais N°16 le prit dans une lourde étreinte. Goku s’accrocha et utilisa le déplacement vers la planète indiquée.
Arrivés, N°16 activa le processus et brilla. Goku repartit non sans voir un sourire de N°16. Celui-ci était fin prêt, mais Cell cracha :

« Tu t’imagines quoi avec ton gadget ? Tu oublies que je peux me régenerer ?

_ n’a-t-us pas remarqué que nous sommes sur une planète instable ? »

Cell paniqua plus que les autres fois : les orages de feu étaient continues : pris dans une telle tempête et avec cette bombe il serrait fichu. Il tenta de se dégager, mais en vain, et trop tard. N°16 explosa, et le déluge de feu tripla d’intensité.

« NNNnnnnOOOoonnnNNNNNNN !!! JE SUIS L’être parfaiarrghhhh !!!! »

La planète explosa, provoqua une grande lumière sur fond d’un vacarme lourd, puis plus rien. L’espace gagna en vide. Sut Terre, tous furent immédiatement en deuil, vu que tout était retransmis : la machine avait sauvé l’homme et protégé la nature contre un programme qui réclamait du sang et des larmes. Végéta se fit violence : il était intimement persuadé qu’une autre occasion allait se profiler pour voir cette puissance dont parlait Kakarotto.


Fin du prologue

c'est un peu un what if avec une modification de prévue de la saga Boo. voici la 2nd version du prologue, et même si elle ne sert plus, je vous en fait profiter :

Fin alternative du prologue :

Gohan jubilait : Cell ne se sentait plus au point de devoir régurgiter C-18. Maintenant, le garçon allait enfin passer à la phase finale du châtiment, la plus expéditive. Oui, Gohan, de victime, était passé à un dominateur, il étai juge, procureur, avocat, jury et bourreau de ce criminel sanguinaire. Il avait l'impression d'entendre crier de toutes part : "A mort !!, "Assassin !!". Mais à la place, il entendait :

"Gohan, c'est le moment !! Tu dois en finir : ce n'est pas parque Cell a perdu en pouvoir que tu dois continuer à jouer !! C'était son père.

_ Jouer ? NON !! Je le punis : il doit payer pour toutes ses atrocités, ses moqueries, la terreur qu'il a répandu et les humiliations que vous avez subis. Je ne laisserai pas ses crimes impunis, je vais décupler la douleur, avant de la lui rendre afin qu'il se repentisse en enfer. !!!"

Mais une autre voix s'éleva, alors que Gohan s'interrogeait : il était partagé entre la protection de la Terre et son désir implacable de vengeance, de retournement de la violence. Oui, il se sentait le sauveur inoxydable que rien ni personne ne pouvait remettre en cause, il voulait que Cell paye le prix du sang. C'était celle de Végéta :

"Imbécile !! Fais ce qu'il te dit : achève le, avant de commettre la même erreur que moi !"

Tout le mon,de fut surpris, et surtout Gohan et Goku. Végéta enchaina :

"Arrêtes de te comporter comme un gamin, de te prendre pour moi !! C'est moi le Prince des Saiyens, l'élite. Si tu veux que l'on s'en sorte avec Kakarotto, discutes pas et vas-ys. Qui essaie-t-us de convaincre ??!"

Gohan se rendit compte que même Végéta voulait qu'il en finisse. Tous le pressaient d'en finir, et il commença à douter : était-il vraiment invincible ? Se pourrait-il que cette fierté dont se vantait Végéta, cette arrogance qui le dégoutait le dévore pour le faire dégénerer en monstre, ne valant pas mieux que Végéta ? Que Freezer ?? A cette pensée il se rua à contre-cœur sur Cell qui chercha à se changer en énorme baudruche explosive : il chargea un Kaméhaméha et Cell prit peur : il allait l'achever, et il n'était pas encore assez fort pour faire sauter la Terre.

"Tu as de la chance que je ne sois pas un saiyen de sang pur. Alors hors de ma vue,HORS DE MA VIE !!!!!!!"Sur ces mots, le rayon engloutit Cell en entier, qui disparut en hurlant. La Terre était passée au bord du gouffre, avec un pied dans le vide.

Gohan se reprit et se tourna vers ses amis. Il semblait mort de honte.

"Je suis désolé, papa. J'aurais du t'écouter depuis le début, mais j'ai voulu jouer les héros qui punissent les méchants, et j'ai failli causer la perte de tous.
_ Ce n'est rien. Après tout, les premières transformations exacerbent toujours certains sentiments négatifs, dont la violence. Mais à l'avenir, ne recommences plus ce jeu, car d'ici là, tu devras maitriser cette puissance !" La voix se faisait plus dure.

"Pff... quel pleurnichard pensa Végéta. C'est plus fort que les autres et ça a peur de son père. Puis à voix haute : viens Trunks, nous n'avons plus rien à faire ci." Le deux saiyens s'en vont. Le caméraman et le commentateur s'approchèrent du groupe qui soupira rien qu'à les voir venir.

"Donc, c'est toi qui a terrassé Cell ? Je n,'en reviens pas : un livreur de bento a sauvé notre planète."

_ Ben, en fait bafouilla le garçon, il faut aussi remercier mes amis, mon père et Mr Satan. S'il n'avait pas lancé la tête de N°16, je n'aurais pas battu Cell. On a fait une bonne équipe, en quelque sorte."

Mr Satan l'accorda : "oui, un champion des arts martiaux se doit de ne jamais fuir le danger, non ?" Le caméra-man les dirigea bers lcamion où le matériel marchait encore : il fallait annoncer la bonne nouvelle. Mais Gohan et les autres avertirent: en "échange de la révélation sur leur nature, pas d'étalage de la presse chez eux, ce qui leur fut accordé. Mais les terriens n'en eurent cure : ces extra-terrestres et terriens, aussi discret et modestes étaient-ils, avaient sauvés le monde, et ils méritaient avec Mr Satan, la gloire dont pouvaient rêver tous les héros. "Vives les Saiyajins, vive Mr Satan et les disciples de l’École des tortues, nos sauveurs !!" pouvait-on entendre à la gloire de ces guerriers venus du cosmos et leur champion.

Fin

CHAPITRE 1

Quelque part dans la Galaxie du Sud :

Un vieil homme se tenait dans une énorme pièce parsemée de tableau de commande. Il avait le teint sombre, avec une moustache et un œil en moins, remplacé par une cicatrice. Sans doute une blessure de guerre, aurait dit un observateur tiers, mais pour cet homme, il s’agissait d’un souvenir radicalement différent. Enveloppé dans une énorme cape qui cachait son bras gauche, il scruta l’horizon : son vaisseau approchait d’une planète ceinturée de satellites armés de canon lasers. Mais le commandant de sa petite armée n’en n’avait cure : en cas d’urgence, il possédait une arme secrète, contre laquelle tout autre dispositif de défense se révèle bien inutile, et pour ainsi dire hors de propos. Les pilotes étaient attentifs : au vu de la taille du vaisseau, il fallait se montrer extrêmement prudent et posséder toute une vie d’expérience dans l’aérospatial et le pilotage en général, car niveau discrétion, utiliser un tel navire relevait du ridicule. Ce qui devrait être la salle principale de contrôle était en fait reliée au pupitre du vieil homme : il voulait tout contrôler et ne laissait que peu de directives à ses soldats. Ce qui engendrait certaines périodes de vide dans les programmes de journées. Toutefois, personne ne se plaignait de quelconque mutinerie, vu le peu de temps que cela prenait à les mater dans, parfois, le sang. Sang qui était d’ailleurs nettoyé aussitôt, avec les cadavres brûlés et les restes jetés dans le vide d l’espace.
Un pilote s’avança vers le « commandant de bord » : il ne pouvait lui adresser que les détails du voyage. Le reste était déjà bien connu :

« Seigneur Paragus, dans exactement deux minutes, nous allons sortir de l’hyper-espace et être reperés par leurs radars, ce qui veut dire que leurs satellites vont aussitôt ouvrir le feu.

_ Bien sûr qu’ils vont chercher à nous détruire, si nous leur laissons le temps, bien entendu. Vous savez ce qu’il vous reste à faire : allez à la chambre 3 dans les appartements supérieurs, et dites lui de ma part qu‘ il doit se rendre dans le hangar 8. »

Le soldat s’exécuta sans oublier la révérence. A peine était-il sorti qu’une lumière violette brilla sous sa cape, puis verte. Le tissu se déroba un bref instant, pour laisse apparaitre un bracelet à deux lumières.
Le soldat arriva enfin à la pièce indiquée. Il hésita : la personne avait des fois des crises de nerfs et se calmait aussitôt chaque fois que son maître était à proximité. Ce grand homme, au regard petit, froid, évasif, le mettait mal à l’aise. Finalement il se lança :

« Monsieur, vous devez me suivre et vous rendre au hangar 8. Levez vous et sortez s’il vous plait. »

On entendit un borborygmes bizarre, un grommellement plutôt, puis une respiration trop forte pour que la personne soit vraiment calme et détendue.

« C’est un ordre de Paragus-sama » termina-t-il, avec un frisson dans le ton.

Les bruits cessèrent aussitôt. La personne sortit : très grande, parée d’une ceinture, d’avant bras et d’un énorme torque, ou d‘un pendentif. Tous en or massif, jusqu‘au diadème qui semblait séparer la chevelure longue en deux parties distinctes. Curieusement, le pantalon qu’il portait semblait trop grand pour lui : il avait rarement vu des plis, de pareils ourlets pour un pantalon, soutenu par des bottes. Avec le la cape rouge montée par la ceinture, qui, come le reste, était ornée d’un saphir, on aurait dit un empereur, ou une représentation d’une divinité. Le soldat était tout aussi stupéfait par la carrure : cet homme possédait une armure de muscles. Ce soldat pouvait témoigner de l’utilité de ce physique puissant : ce jeune homme avait subi une batterie de test, notamment des rafales de canons lasers, et aucun piège, aucune arme n’a pu lui faire qui que ce soit. Même ses vêtements restaient intacts !

( voici la musique : https://www.youtube.com/watch?v=JG4ISCfKJVs&feature=player_detailpage#t=144s )

Ils arrivèrent au hangar, qui était plus petit que les autres : seuls 3 vaisseaux pouvaient y entrer sans se cogner entre eux. Ce hangar a été aménagé spécialement pour cet homme, et cela donnait très peu de temps à nettoyer.
L‘autre chose qui mettait le soldat mal à l’aise, c’était le contraste extrême entre sa puissance et le caractère qui laissait paraitre rien qu’à son visage : timide, obéissant, très poli et sage, humble presque. Limite si il ne serait pas en train de cirer les pompes à son maitre. Mais soudain, son regard changea : il devint très colérique, agressif et sa bouche se crispa, mais on put voir ses dents. Le soldat n’attendit rien, et surtout pas que l’on ne lui ordonne de dégager la piste. Toutefois il aperçut la salle de contrôle annexe au hangar et reconnut son maitre, le bras tendu avec un objet brillant. Et surtout, il vit son regard : une fascination à faire froid dans le dos. C’était comme si c’était le seul moment que Paragus pouvait apprécier dans la journée : voir ce qui s’avérait être son fils déployer une énergie incroyable et se mettre à détruire toutes les installations militaires qui leurs étaient hostiles en quelques secondes : c’était court, mais quand on y prête une certaine concentration, cela en devient intense. Le guerrier sortit de l’espace, les cheveux un peu hérissés, mais toujours bloqués par le diadème. Il était vraiment bizarre, et très dangereux : Avec un semi-rictus de colère, il s’élance et charge un large rayon laser. En fait, c’était un leurre : un faisceau vert se chargea, et il se mit à crier :

« SPREAD THE MAYHEM !!!!!! »

Aussitôt, une gigantesque rafale ( voire une averse) de lasers se déchaina sur les ceintures de satellites qui volèrent en éclats les uns après les autres dans un fracas indescriptible. On aurait dit un énorme lance -missiles invisibles, sans recul, tirant 1000 coups/minute. Ce qui était une ligne de défense se déduisit à un cimetière, à une véritable décharge spatiale laissée à l’abandon. A présent le vaisseau et les navettes qui se mirent à sortir des hangars et graviter autour du vaisseau spatial avaient le champ libre pour une attaque en surface. Le broyeur de tôles rentra à la base qui atterrit sur la planète, non sans subir les assauts d’escadrilles, rapidement réduites à néant. L’attaque au sol débuta : les mercenaires qu’avait recrutés Paragus faisaient des ravages, mais malgré la résistance, cela semblait facile, voire même un peu trop au gout de Paragus et de ses officiers.
Et leur instinct ne fit pas défaut : Un champ de force invisible court-circuitait très rapidement les véhicules, et les tirs ralentissaient. Sans parler de pièges cachés dans le sol. Une décision fut rapidement prise :

« Ordonnez aux troupes de se retirer et de renter au vaisseau principal : puisque les armes classiques sont inutiles, autant sortir l’artillerie lourde : Broly, cela va être de nouveau à toi. »

( musique :https://www.youtube.com/watch?v=QmbzQ0JwnHc&feature=player_detailpage )

Broly hocha la tête en guise de réponse positive, puis son serre-tête brilla, mais moins fort que tout à l’heure, puis sortit pour se diriger vers les postes de commandements ennemis : il ne chercha même pas à éviter les pièges, vu leur inefficacité sur lui. En fait, avec la fumée soulevée par les explosions, les soldats ennemis ne voyaient plus rien : leur adversaire avait retourné leur stratégie contre eux. Ils ne virent pas Broly détruire véhicules à main nues, ni les exploser le crane d’une simple pichenette à cause de la fumée et tellement il était rapide. D’abord de façon banale, Broly appréhenda peu à peu cela avec amusement : cela semblait jouissif de pouvoir écraser des soldats ennemis, de les piétiner comme une colonie de fourmis. Il pénétra dans un dôme de contrôle des armées , ce n’était pas le QG, mais celui-ci ne durera pas longtemps. Dans les couloirs, Broly les tuait encore assez froidement, utilisant simplement la méthode adéquate pour tuer le plus de soldats possibles en un temps réduit avec un minimum de mouvements. Les chefs ennemis étaient apeurés : c’était une véritable arme de guerre d’une efficacité tellement bien affinée et aiguisée qu’une seule vie serait insuffisante pour l’avoir mis au point. Broly était amusé : ils sont bien vu leur impuissance, alors pourquoi continuer à tirer et lancer des explosifs ? Quelle bande de bras cassés, songea-t-il. Il continua son massacre, et le sang coulait de plus en plus, il remarqua que les éclaboussures auraient pu être mieux réalisées. Pourquoi cette pensée ? Il n’était pas un esthète, et pourtant, le craquement des os était réalisé plus subtilement chaque fois qu’il attrapait les nuques pour les faire briser. Arrivé à la salle principale, les généraux s’enfermèrent dans un champ de force adapté à l’ADN de l’intrus. Mais devant la structure génétique très complexe de ce Super-Tank vivant, ils devaient se résigner : leur bouclier ne sera pas efficace à 100%. Un des militaires s’avança l’air fasciné, et lui parla :

« Toi…tu sembles être plus fort que toute notre armée. Je peux te proposer toute la fortune des planètes si tu marches avec nous. J’aurais offert des centaines vies en sacrifice pour avoir 10 hommes comme toi. Et vu ton air, tu n’y mets pas tant de cœur que cela : tu n’as pas l’air de servir ton maître avec enthousiasme . ».

(musique : https://www.youtube.com/watch?v=tCSQpxTmkFs&feature=player_detailpage#t=395s

Cette remarque fit titiller Broly : au fond de lui, il cachait une rancœur, une rage encore moins lumieuse que les Abysses ou n’importe quel crépuscule. Oui, il était peu satisfait : il n’avait pas le choix, alors qu’il voulait faire, s’exprimer, détruire comme cela lui chante. Mais il était réduit à un robot aseptisé et ne pouvait rien faire. Et non seulement l’argent ne valait rien pour lui, mais il risquait de passer d’une prison à une autre s’il acceptait. Il préféra s’adonner à cette « passion » avant de retomber totalement dans ce brouillard à couper carrément à la tronçonneuse. Il sourit et dit :

« On peut parler librement : il est vrai que je suis peu satisfait avec mon père et ce serre-tête qu’il m’a mis. Mais rien ni personne ne m’empêchera de manquer d’inspiration. Alors votre contrat, vous pouvez toujours rêver, encore que… ( un rictus sadique apparut ) je me demande si un mort peut faire des rêves. »
Sur ces mots, il fonça et détruisit avec facilité le champ de force qui était à efficacité réduite. Les soldats furent exterminés en un éclair. L’un d’eux fut suspendu et Broly le décapita. Pourquoi ? Pour en faire un trésor de guerre ? Un trophée ? Oui, pourquoi pas. Son père n’aurait rien à redire si cela pouvait permettre de dissuader de futurs ennemis. Il retourna au vaisseau et toute sensation disparut pour le retourner à son état de gentil et docile enfant.

Les planètes de cette Galaxie subirent le même sort, et à un moment, des guerriers aussi forts que Freezer apparurent, mais Broly les écrasa facilement au coirs d’un jeu de piste qu’il leur a imposé, avant de les tuer un par un, et sans se fatiguer : il n‘était jamais à court de ressources. De nombreuses furent purement et simplement détruites, et une autre planète fut découverte et les habitants avaient des forces physiques moins épuisables que d’autres peuples. Paragus s’y intéressa et les réduisit en esclavage grâce à une hypnose collective, avec le concours de Broly. L’armée s’installa sur une planète désolante, en ruine. Les astrophysiciens rapportèrent qu’une Comète devait frapper cette planète 2 mois plus tard. Il fallait faire vite, car Paragus avait repéré une personne qui l’intéressait sur la Terre, planète convoitée pour a beauté. Il fallait planter un décor et les ouvriers se mirent joyeusement au travail, encore sous l’effet du contrôle mental, différent de celui de Broly. Paragus jubilait :

« Végéta, viens vers ton destin. Je vois que les terriens t’adulent avec d’autres combattants après un combat contre cette créature… Cell, c’est cela ? Profites que l’on t’anoblit, te vénère. Car bientôt, tu seras jugé, et certainement condamné à mort. »
Il éclata de rire, rire sardonique qui résonna dans les appartements. Broly, lui, n’y fit attention que très peu de temps, avant de chercher au plus profond de lui cette sensation soudaine. Mais était-ce une émotion ? ou une fascination , se demanda -t-il devant la tête lavée et toute propre, les yeux clos et un demi-sourire, qu’il avait installée sur une fresque inachevée, représentant sans doute sous les yeux d’un terrien, le Jugement Dernier, ou un simple cataclysme, puisqu’on y voyait des corps positionnés comme pour faire un édifice. Et il y avait surtout du rouge, plein de rouge, à se demander si c’était vraiment de la peinture.

( musique : https://www.youtube.com/watch?v=tCSQpxTmkFs&feature=player_detailpage#t=308s )

Kaio trembla de terreur. Sous peu, les Saiyens verront la mort les approcher, plus près d’eux que jamais, car ce guerrier dépassait Goku et Gohan en puissance. Non, dans tous les aspects du combat ! Il fallait faire vite avant que cette machine à broyer les peuples ne se tourne, sous les ordres de son géniteur, vers la Galaxie du Nord.

FIN.

voilà, à vos commentaires et a plus pour la suite ( je m’apprête à écrire le 6° chapitre sur Union Sacrée )


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MessageSujet: Re: FIC Broly le Super Guerrier   FIC Broly le Super Guerrier EmptySam 9 Juil - 18:26

Voici d'un coup les chapitres 2, 3 et 4.

CHAPITRE 2 :

( musique : https://www.youtube.com/watch?v=cc8W-iLPm6M&feature=player_detailpage )

Goku alla dehors faire quelques flexions et autres exercices de souplesse : Chichi a exigé de Goku qu’il ne dérange pas son fils car il était avec un professeur particulier. Cet homme était sérieux mais pouvait montrer une grande attention et presque une amitié avec les élèves qu’il venait voir. Pour les sciences physiques, il les invitait même chez lui, où se trouvait un modeste laboratoire. Ce professeur, appelé Anton, voyait un grand potentiel en ce garçon : si il travaille de façon régulière, et plutôt soutenue, il sera un grand savant plus vite qu’il ne le croie. Chichi, devant ce « diagnostic », était aux anges : cela changeait des bagarres, courses contre la montre elle ne savait où ( hélas ) et puis Cell était mort, la paix était établie pour longtemps. Ces jours paisibles de la veille du Cell Game étaient intenses et aujourd’hui, la famille pouvait les vivre en continue, loin des micros, des foules en lisse ou des mains par centaines avec un bout de papier et un stylo ouvert, des étoiles dans les yeux. Mr Satan était le plus voyant et représentait Son Goku et ses amis. Krilin trouvait cela marrant d’y assister, et même si Végéta trouvait cela pire qu’ennuyeux, il pouvait au moins ressentir autre chose que des insultes, des regard méprisants ou de colères, des expressions de peur ou de défis. Ici, les Saiyajins étaient acclamés comme des dieux, des sauveurs. Certaines tribus qui n’avaient rien raté de l’histoire de Cell et qui furent informés de cette histoire de Super Saiyens, les vénéraient, ils étaient dans leur panthéon. Ces nouvelles racontaient que des héros venus du ciel et des temples du combat s’étaient alliés pour que soit vaincu un démon né de la folie des mortels. Pour les remercier, les dieux ancestraux les ont accueilli dans leur domaine et accordé l’immortalité. Mais quelque part, au pied d’une tour, une autre tribu voyait bien de qui il s’agissait : même après bien des années, le visage était facilement reconnaissable.

« Père, Son Goku est adulé avec ses amis par la Terre entière ! Qui l’aurait cru ? Annonça Upa.

_ Oui, fils répondit Bora qui se faisait vieux. Certaines personnes de ma connaissance leur vouent un culte. Je n’aurais jamais imaginé que Goku venait du ciel, et bien au-delà : du cosmos !! Il ne nous l’a jamais dit, auparavant.

_ Il devait ne pas s’en souvenir . Par ailleurs, j’avais remarqué une petite cicatrice dan ses cheveux, et je n’ai pas l’impression qu’elle soit récente, bien au contraire. Serait-il plus qu’il ne disait sur lui-même ? »

Cette question demeura sans réponse. En fait, le père de Upa était plongé dans ses pensés : le mystère de Goku était bien plus épais qu’il ne le croyait. Les esprits devront parler ce soir. Il fit de nouveau appel à sa magie et invita son fils à la cérémonie. Bora eut des images : des hommes avec des queues de singe, une planète qui explose. Cela Concordait avec ce qui fut raconté aux terriens. Mais autre chose survient : Il vit un colosse aux cheveux verts; aux yeux blancs et l’air épanoui, émerveillé…au milieu de cadavres. Il voyait une vision d’horreur, et Goku en pleurs, dans une sorte de mise en scène, comme dans un sacrifice ancien. Puis le néant revint : les esprits s’étaient tu. Le grand Shaman indien se tourna vers son enfant :

( musique : https://www.youtube.com/watch?v=VNJ3Yzg0vTc&feature=player_detailpage#t=419s

« C’est bien un être venu de très loin dans l‘espace. Mais un danger, pire que tous les autres, va faire son apparition. On dirait un démon de la guerre.

_ Goku est en danger, et on ne peut pas l’avertir ? S’inquiéta le jeune guerrier.

_ D’autant plus que cela concerne son peuple : il devra faire face seul, avec ses congénères, à ce fléau. Et je ne vois pas comment nous pourrions l’avertir, nous ne savons même pas où il se trouve.

_ Alors…( puis avec un sourire radieux ) la solution est évidente : nous devons lui faire confiance. Tu avais vu comment il avait tenu sa promesse de te venger. Il s’en sortira.

_ Je sais, Upa, puisque j’ai été ressucité. »

Végéta se dirigea vers la maison de Goku : Bulma lui avait indiqué quel chemin à prendre et il ne devait plus être très loin. Le Mont Paozu était très beau, il devait le reconnaitre, et une pensée le fit
sourire : il vivait dans une métropole, et Kakarotto dans une maison un peu reculée. Ils étaient doncbien antagonistes. Cela rassurait Végéta : avoir Kakarotto comme voisin, quelle idée. Il apercut enfin son rival préféré. Gok le remarqua et fit signe de descendre discrètement. Végéta fronça les sourcils et demanda une petite explication. Goku répondit :

« C’est Gohan.

_ Et alors ? Que lui est-il arrivé encore ? Interrogea le Saiyajin de sang royal, dans un soupir agacé. Kakarotto faisait un père vraiment insouciant. Pas étonnant que Gohan soit aussi possédée par l’autre furie au rouleau à pâtisserie.

_ Ben, Chichi m’a dit de laisser Gohan dans sa chambre pour étudier. Faute de quoi ( on entends un gargouillement )…

_ Inutile ! J’ai très bien compris répliqua Végéta.

_ Elle risque surtout de me priver de dessert pendant pas mal de temps. » ajouta Kakarotto, l’ait désespéré.
Végéta était toujours titillé : ce goinfre avait une digestion plus rapide que les autres Saiyens oui quoi ? A se demander si il savait réellement ce que veut dire « faim ». En tout cas, il continua sa route sans écouter l’avertissement de Goku d’attendre un peu. Mais le prince était tout sauf patient. Il ne pouvait plus d’attendre que Gohan se décide à reprendre l’entrainement sérieusement, d’attendre que ce métis ne montre a puissance, alors que Goku avait dit que son fils avait de quoi écraser Cell. A propos de ce dernier, le Saiyajin fier n’avait toujours pas digéré le sacrifice de N°16 : il n’avait pas vu la force de Cell à son maximum, et encore moins pu le combattre, l’achever à la fin du Cell Game. Le déshonneur dans lequel cette aberration génétique l’avait noyé le gênait plus que tout, à côté de cela, il pouvait supporter sereinement les pleurs de Trunks dont le double du futur et Bulma s’occupaient, et les caprices de cette dernière. Il frappait à la porte pour se retrouver devant Chichi en tablier et avec une spatule : elle était en train de préparer le diner. D’ailleurs, Goku était attiré par une bonne odeurs de travers de porcs. Mais à peine elle voit Végéta , elle se met en colère :

« ALORS VOUS JE NE VEUX MEME PAS VOUS VOIR A MOINS DE 10 METRES DE MA MAISON !!!!!!!!!!!!

_ Si je voulais tout casser, je n’aurais pas cherché à frapper à la porte, répondit Végéta sur un ton peu jovial. Elle était carrément une hystérie de foyer. Déjà lors de certaines réunions, elle pouvait s’énerver facilement, ce qui cassait les pieds comme les oreilles de Végéta, points faibles dans ce genre de situation. Je voulais voir Gohan et …

« Et bien vous allez attendre que mon fils ait terminé et c’est dans pas longtemps. C’est pas possible : c’est vraiment trop vous demander 5 minutes pour que l’on respire sans devoir craindre une catastrophe ???!! ET A LA QUEUE COMME TOUT LE MONDE !!!! » Elle referma violemment la porte.

Végéta prit une mine désabusée, et parla :

« Là, je crois que cette menace est la pire que nous ayons à affronter.

_ Ne m’en parle pas . » répondit le Saiyen de sang.

Finalement, Gohan put rejoindre son père et fut surpris de tomber sur Végéta. Celui-ci s’avança :

« J’ai décidé de me joindre à vous pour une bonne raison : je veux voir ta puissance, Gohan, et ce sera à la salle du Temps et de l‘Esprit. Trunks est déjà sur place.

_ Lequel ? Demanda Gohan, un peu surpris.

_ Bon, passons, rétorqua Végéta dans un long soupir de frustration tandis que Goku tomba à la renverse. Cette famille pouvait être parfois longue à la détente. Et Kakarotto m’a promis un petit match, et encore une fois, je veux savoir situ as vraiment dépassé les limites du Super Saiyajin. »

Gohan soupira. Il avait entendu les dires de sa mère et était mal à l’aise : que faudrait-il aux Saiyajins de sang pur pour qu’ils sachent une bonne fois pour toutes que la pratique faisait la perfection ? Savait-il combien de souffrances avait-il subi avant d’en arriver là pour un demi-Sayien qui autrefois, répugnait sa race ?

« D’accord, si tu insistes. Mais un conseil, sois attentif et avec un moral d’acier. Maman !! Comptes une heure avant que l’on rentre. On sera prêt pour le déjeuner.

_ Et j’espère que tu ne reviendras pas dans le même état quel dernière fois !! » cria-t-elle, la voix mélangée d’inquiétude et d’énervement.

( musique : https://www.youtube.com/watch?v=WuJavuBnHo8&feature=player_detailpage puis : https://www.youtube.com/watch?v=xwDKTR2ozkg&feature=player_detailpage#t=201s

Les trois Sayiajins prirent leur envol vers le palais de Dendé. Trunks les accueillit à bras ouverts, ses longs cheveux dans le vent. Il repartirait bientôt pour son monde, et avait gagné en force et surtout en vitesse avec son père. Les quatre guerriers allèrent dans la Salle du Temps et de l’Esprit. Une fois à l’intérieur, Végéta et Trunks se transformèrent en Super Saiyajins. Goku et son fils en firent autant. Cette fois, Végéta combattit Gohan, tandis que Goku voulait bien affronter Trunks. Ce dernier se transformer en SSJ Dai 2 Dankai et donna un puissant coup de pied dans le ventre de Goku, mais celui-ci encaissa bien le coup et contra avec une rafale de coups de poings qu’il envoyait d’une seule main. Trunks vit de plus en plus de contusions et d’égratignures sanglantes, mais n’abandonnait pas. Il voulut se servir de son épée, mais ce serait déloyal. Son Goku le remarqua et lui lança :

« Ne sois pas gêné : je l’avais neutralisé lorsque nous nous étions rencontrés pour la première fois, alors il me sera aisé de recommencer. » Trunks fut tiqué : Goku avait gagné un peu trop en assurance.

En tout cas, il allait être servi pour l’étonnement. Trunks enroba son épée dans sa propre énergie pour pouvoir envoyer de puissantes lames de fond d’énergie. Goku ne put esquiver toutes les attaques et Trunks en profita pour le marteler de coups. Mais Goku redoubla de force et envoya chaque coup vers Trnks. Celui-ci n’eut plus d’autres choix. En fait, lui aussi avait dépassé les limites du Supe Saiyens et avait réglé le problème de lenteur, mais il devait avoir de la résistance.

De leur côté, Gohan et Végéta se battaient intensivement. Couvert à moitié d’ecchymoses, les deux combattants marquaient des pauses de quelques secondes, avant de reprendre les enchainements. Végéta envoya son poing droit sur le visage de son adversaire, pour ensuite enchainer avec plusieurs coups de pieds latéraux dans le ventre et la tête. En SSJ Gohan ne tenait pas vraiment la cadence, mais se reprit puis esquiva très facilement les coups de Végéta qui était de plus en plus surpris pour le coup. Gohan était bien la preuve que les métis pouvaient devenir plus forts, ou devenir fort plus rapidement que les Saiyajins de sang pur. Végéta passa au niveau supérieur et enfonça son genou dans le thorax de Gohan qui perdit souffle un moment, mais ne put avoir le temps de répliquer car une pluie de coups s’abattit sur lui. Végéta l’enchaina avec de nombreux coups de pieds qui désarticulaient le métis sur lequel les blessures se multiplièrent. Gohan se devait de réagir et passa alors en SSJ 2 un court instant et enchaina à son tour, sauf qu’il diminue volontairement la puissance de ses coups pour éviter que Végéta n’agonise. Ce denier parvient à se dégager et réplique par d’autres coups violents et termina par un puissant Kikoha : Gohan ne s’était transformé que pour un court instant.

Goku continuait de se battre contre Trunks qui était passé encore au niveau supérieur : SSJ Dai 3 Dankai. Les muscles prirent une dimension impressionnante et les yeux de Trunks disparurent un instant. Goku avait vu et déjà testé cette transformation, mais avait conclu qu’elle était inutile car la vitesse s ’en trouverait réduite. Soudain, il s’aperçut que en le frappant que Trunks avait surtout gagné en résistance et n’attaquait plus qu’avec que des boules de feu. Le reste du temps, il bougeait peu, et contrattaquait très intensément son ennemi. Voyant que Trunks ne cherchait plis à esquiver ses attaques, le saiyajin lança un puissant un Kaméhaméha que Trunks dut esquiver. Goku bougea plus vite mais Trunks…le devança !! Comment avait-il fait ? Il était pourtant trop lent ! Trunks dut s’expliquer :


« J’ai fini par me rendre compte que je devais améliorer cette transformation en attendant le Super Saiyen 2. Alors je force sur mes jambes, ce qui me donne une forte poussée : c’est ainsi que je t’ai devancé. Il m’arrive aussi de tendre sur les muscles pour aller plus vite, mais cela me faisait très mal. Heureusement , je m’améliore et cela fait de moins en moins souffrir.

_ Tu ne devrais pas trop prendre de risques à de sujet.

_ hmpff… Tu as recours à cela ? Végéta les a rejoint. Qu’-as-t-u fait donc contre Cell lors de mon absence ? ( devant l’expression de Trunks il comprit ) Je pensais que tu avais réfléchi à cette éventualité, mais non. Heureusement que tu l’as travaillé un peu après. Pour Gohan sa force était vraiment impressionnante mais je suis sûr qu’il s’est retenu ! Mais je suis sûr qu’il montrera tout son pouvoir. »

A peine sortis de la salle, Trunks ressentit quelque chose :

« Un vaisseau a du débarquer sur Terre : je sens des énergies à bord , et deux d’entre elles comportent des caractéristiques des Saiyajins. D’autres survivants, sans doute.

_ Je ressens un appel…c’est vous Kaio-sama ?

_ Oui, Goku. Il faut faire vite : un Super Saiyen a ravagé la galaxie du Sud et se dirige vers la galaxie du Nord. Il est probable que son pouvoir aille bien au-delà du tien. »

Goku en était abasourdi, puis excité. Il en informa vite Végéta et les autres et va chez Kaio. Les autres se dirigent vers ce vaisseau. Arrivés, Trunks, Végéta et Gohan arrivèrent sur place et virent une armée de soldats entourer Paragas qui les salua :

( musique : https://www.youtube.com/watch?v=xwDKTR2ozkg&feature=player_detailpage#t=201s )

« Nous vous avons enfin retrouvé, seigneur Végéta. Mon nom est Paragas, et je suis venu vous dire que nous sommes sur les traces du Super Saiyajin légendaire, celui qui apparait une fois tous les 1000 ans ! »

La dernière phrase de Paragas fit trembler Végéta d’excitation : il allait combattre ce Saiyen légendaire, probablement celui qui a dévasté la galaxie du Sud, surpasser la légende. Les autres amis de Goku, Krilin, Tien Shin Han et Yamcha arrivèrent.

« Tiens, je ne savais pas que vous aviez des amis. Vous êtres tous les bienvenus, suttour vous prince Trunks.

_ comment saviez-vous pour moi ?

_ Nous savons que vous descendez du roi Végéta et nous vous observons depuis quelques temps. Sur ce, messieurs, si vous aimez la chasse, suivez le guide. » Aussitôt les amis de Goku se laissèrent avaler par la soute du vaisseau. Trunks avec un émetteur, informa Bulma de la situation. Pendant ce temps, Goku arriva chez Kaio, avide d’en savoir plus sue ce Super Saiyen

Fin du chapitre


CHAPITRE 3 :


Goku fut surpris d’entendre le mot « super saiyen » avant son départ : il était persuadé avec Végéta que le guerrier apparaissant une fois tous les 1000 ans était ce guerrier qu’ils étaient. Sur Namek, il s’était lui-même vu comme un guerrier légendaire réveillé par sa colère. Krillin avait eu tord d’avoir dit que la nature paisible menait à cet état. En fait, c’était tout le contraire : c’est la rage, la haine le moteur du Super Saiyen. En fait, il tenait à en savoir plus sir cette légende, car les cartes étaient rebattues après le combat contre les Cyborgs, et les transformations de Gohan et de Végéta.

« Ce Super Saiyen a donc ravagé la Galaxie du Sud et que son pouvoir dépasse largement le mien ?

( musique : https://www.youtube.com/watch?v=3xR6JZiYzaU&feature=player_detailpage#t=477s )

_ Bien sur. D’ailleurs, je me suis posé moult questions au sujet des Super Saiyajins. Lorsque tu t’étais battu contre Freezer, j’ai remarqué que tu avais, disons, régressé à l’ état d’un guerrier fier et très violent, mais lorsque ce garçon, Trunks s’était battu, et surtout quand tu inventé cette forme du SSJ, évacuant le côté éprouvant, j’avais compris que le guerrier de tous les 1000 ans n’avait rien à voir avec cela : ce Super Saiyen n’en est qu’une étape, une transformation comme celles de Freezer. Attention » , ajouta-t-il en levant sa main alors que Goku allait répondre, « n’y vois pas un quelconque lien avec sa race, les Saiyens ne sont pas des mutants. Mais Freezer était loin d’être le plus fort de l’univers. En fait, nous autres avons vu le précédents Super Saiyajins légendaires;

_ Incroyables ! Ces guerriers étaient très forts ? Demanda toujours Goku avec ce même intérêt pour un puissant adversaire. Cela agaça un peu Kahio : les Saiyajin ne savaient donc pas se tenir ? Il verront qu’un jour leurs excitations et leur égotisme détruiront l’univers.

_ Et bien pas aussi fort qu’aujourd’hui, mais la puissance monte à chaque génération qui passe. Le premier d’entre eux remonte à 3000 ans. Sa force était suffisante pour vaincre Freezer, mais il ne maitrisait pas sa puissance, et elle a fini par le ronger comme un cancer. C’était toutefois un héros : c’était le temps où il y avait bien plus de Super Saiyens que tu ne pouvais l’imaginer. En fait, ils constituaient l’élite. Le second était, en revanche, beaucoup moins héroïque : il était un tyran sanguinaire qui avait même voulu se faire adorer comme un dieu. Et il n’eut pas beaucoup de temps pour que tout le monde adhère à ce culte. En fait, si les appareils de Freezer avaient mesurés sa puissance, il afficherait, pour sa naissance, 3000 unités au compteur. »

Cette remarque fit frissonner Goku d’excitation : dire qu’il pouvait exister de si grands combattants à l’époque. Il se demandai si ce premier Saiyajin légendaire n’était pas dans l’autre monde auprès des Kaihos, puisqu’il était un héros. Et au pire, si l’occasion se présentait de se rendre en enfer, il pourrait les rencontrer et les affronter. Kaiho poursuivit :

( musique : https://www.youtube.com/watch?v=zYdGBreRCdc&feature=player_detailpage#t=213s

« Pourtant, un groupe de puissants Super Saiyens s’étaient réunis pour le stopper, mais pas de façon conventionnelle. En effet, outre sa puissance qui pouvait augmenter d’un seul coup ou stagner un peu sans crier gare, le guerrier légendaire possèdait une résistance à toute épreuve, et les blessures cicatrisaient à une vitesse ahurissante. De plus, se réserves d’énergies étaient inépuisables, il n’était jamais à court de ressources. En fait, sa transformation ultime était permanente, sauf si il pouvait contrôler ce pouvoir. Si cela avait été le cas, je ne serais pas là pour te raconter tout cela. En effet, je ne peux vieillir, mais je peux être tué ( cette remarque fit sursauter Goku qui faillit s’étrangler avec un morceau de viande ). Je continue : en fait les Super Saiyens rebelles durent le vaincre par la ruse. Ils l’ont attiré dans une planète hostile. Le pouvoir de l’un d’entre eux provoqua un violent choc émotionnel et ses 5 sens devinrent hyper-sensibles : le prix à payer fut que le monstre Saiyen pouvait les repérer et faire mouche à chaque fois, mais il serait vulnérable aux ultrasons . Le procédé fonctionna, et le monstre souffrit atrocement, et en fut complètement désorienté, lui qui se croyait inoxydable. Les guerriers durent unir toutes leurs forces et lancer une attaque simultanée pour l’affaiblir encore plus. Une dernière attaque mentale le terrassa d’hallucinations et son esprit subit un véritable calvaire, avant de voir son cerveau, déjà bien endommagé, s’autodétruire. Seuls deux Super Saiyens purent s’en sortir, les autres moururent des suites de leurs blessures, ou vidés de leur essence. Le peuple Saiyen devait donc s’entretenir pour sélectionner les Saiyens et s’assurer à ce que chacun ne puisse nuire à sa race. »

Goku fut toujours passionné et posa LA question qui devait suivre :

« Et pour le dernier en date, ce fut encore pire ?

_ Exact. Je l’ai vu de mes propres yeux : sa puissance avait atteins 5000 unités à la naissance. Et il était presque égal à Végéta sous sa forme actuelle. Les guerriers ont vu leur planète d’origine ravagée et tellement endommagée qu‘ elle en fut devenue inhabitable . Il émigrèrent ailleurs et le Saiyajin légendaire voulut les suivre. Mais il peinait dans l’espace et fut désintégré dans l’atmosphère d’une planète et les Tsufurujins ne l’aperçurent pas. Oui Goku, les Saiyajin étaient très peu nombreux lorsqu’i arrivèrent sur la Planète Plante et les ann ées de calme entre les deux peuples les ont amollis. Jusqu’à aujourd’hui, et vous constituez cette élite disparue. »

Goku avait saisi le reste : le Super Saiyajin légendaire était apparu il y a peu. Il fallait s’en rendre compte au plus vite. Goku devait repérer l’énergie afin de l’identifier plus facilement. Et il sentit aussi que Végéta et les autres avaient suivi cette armée et les deux Saiyajins. Il fallait au moins prévenir Gohan de la situation. Il demanda cela à Kaiho :

« Que nous l’informions par télépathie ?

_ Oui, il est avec Végéta et les autres et on leur a dit que le Super Saiyajin aurait été aperçu dans une zone entre la Galaxie de l’Ouest et celle du Sud. Il se dirige vers le Nord. »

Goku put contacter et informa Gohan qui prit le temps de raconter à Trunks dans leurs appartements du vaisseau. Ils étaient plutôt luxueux et Paragas semblait avoir bon gout. Goku reçut la direction à prendre et se dirigea vers une planète portant encore les traces du passage de ce Saiyajin. Arrivé sur place, il constata qu’au regard des ruines fumantes, le carnage devait remonter à pas longtemps. Ce carnage avait du prendre peu de temps. La peur et la curiosité se comprimèrent dans le Saiyajin de sang : il se demandait à quel point ce Saiyajin pouvait être plus fort que lui. Il eut une impression d’inquiétude : et si ce guerrier pouvait surpasser Cell ? Certes, ils ne l’avaient pas vu au maximum de sa puissance. Goku localisa Gohan : ils venaient d’atterrir. Se rendant compte que les autres planètes étaient dans le même état et qu’il n’avait donc plus rien à faire ici, il se volatilisa, pour réapparaitre ailleurs.



Végéta arriva sur place en compagnie de Paragas. Celui-ci lui décrivit la planète où presque tout était encore à bâtir, mais ce n’était rien à côté des grands projets réservés pour la suite. En fait Paragas avait échappé in extremis à la destruction de la planète Végéta par Freezer, et il recruta des mercenaires pur survivre puis devait retrouver un descendant du roi Végéta afin, dit-il de l‘ aider à recréer la splendeur passée du peuple Saiyajin. Mais Végéta le coupa sèchement alors que le vieux Saiyajin allait lui parler de recrutement pour les armées :

« Épargnez moi ces beaux discours, on croirait entendre mon père qui me répétait souvent la même chose. Je veux savoir si vous avez pu le localiser, ce Saiyajin.

_ Nous y travaillons actuellement, mais nous sommes presque sûr qu’il cherche à rejoindre la galaxie du Nord et provoquer d’autres ravages. Nous arrivons au palais. »

( musique : https://www.youtube.com/watch?v=3xR6JZiYzaU&feature=player_detailpage#t=106s )

Végéta et Trunks, assis confortablement, regardaient droit devant eux : le palais était immense et son style rappelait les palais de certains rois de certains mondes que le prince des Saiyajin avait « visité ». Derrière eux, Gohan et les autres regardaient aussi, à la tête d’un convoi de soldats. Arrivés, ils furent acclamés par des guerriers venus de certains mondes de la Galaxie de l’Est. Tous recrutés par Paragas lorsqu’il leur avait parlé de servir un peuple de Conquérants plus que reconnaissant envers ceux qui les seraient loyalement. Intérieurement, Paragas trouvait cela du plus haut comique : bientôt il n’aurait plus besoin de ces bandes de minable. Cela ne lui fera rien de les voir disparaitre avec cette planète quand la comète Gumori sera bien visible du plus près possible. Paragas conduisit la petite troupe escortée par ces mêmes mercenaires. Végéta fit face à un homme taciturne, plutôt timide. Il s’agissait de Broly, et Paragas ne manqua pas de le présenter :

« Lui, c’est mon fils. Pour ses services à vos côtés, vous m’en direz des nouvelles. Il s’appelle Broly. »

Végéta était intrigué par cet homme très humble. Cette humilité ne fléchit pas une seconde lorsque Végéta lui demanda pour son nom et son attribut :

« Exact, majesté. C’est bien mon nom, et je suis entièrement à votre service. Vous pouvez vous confier à moi sa aucune crainte. »

Trunks et Gohan furent tout aussi surpris par tant de politesse et de servitude, surtout pour un Saiyajin. Lorsque Trunks passa à côté de lui, Trunks eut un très léger malaise : il sentit que Broly avait l’air ailleurs, ou que quelque chose le guidait comme un automate. Le pire, c’est que ce guerrier ne remarqua même pas que Trunks l’observait. Même si la force de Broly était inférieure à Paragas, il savait instinctivement qu’il fallait se méfier de lui. Soudain, alors que les soldats guidèrent les terriens aux appartements situés dans les derniers étages du palais, un soldat avait quitter son poste d’observation spatiale pour faire un rapport urgent :

« Végéta-sama, un Saiyajin serait apparu sur une planète au bord de la galaxie de l’Est !

_ Est-ce vrai ? dirent Béjita et Trunks en cœur. Etes-vous absolument sûr de sa position ? Cela semble plutôt loin de la nôtre. » remarqua Trunks.

_ En tout cas, sa force était palpable, prince Trunks ( les soldats avaient été mi au courant pour les invités ). Trop puissant pour que ce soit un Saiyajin de base. Ce devait être sans doute un Super Saiyajin.

_ Dans ce cas, on va s’y rendre tout de suite, proclama Végéta. Broly, Trunks, vous venez avec moi !

_ Pas dans le grand vaisseau rétorqua Trunks. Cela prendrait trop de temps et il bougera probablement avant que l’on arrive : je ne pense pas qu’il va nous attendre bien gentiment pour un défi.

_ Toujours aussi confiant, hein ? Cracha Végéta. Il ne pourra pas me refuser cet honneur, ou je ne le laisserai pas s’en sortir avant? Venez donc, on va pendre un petit vaisseau plus rapide. »

Et tout les trois embarquèrent avec une poignée de soldats. La navette décolla très rapidement. Paragas était ravi de pouvoir se débarrasser du père et du fils en même temps le moment venu. Gohan, Krillin et Yamcha décidèrent de visiter un peu cette planète? Ils y découvrirent des villes en ruines, et des sols asséchés : quel intérêt de construire la base d’un futur empire sur une planète aussi misérable ?
La réponse ne se fit pas attendre, elle vint de Yamch :

« J’ai entendu Paragas dire que cette planète était justement en construction. D’ici quelque années, ce sera différent. »
Puis la discussion arriva au sujet du Super Saiyajin légendaire : Gohan pensait que c’était son père lors du combat contre Freezer. Mais après son éveil à ce stade et l’histoire qu’il tenait de Kaiho, tout était à refaire à ce sujet. Il se décida à raconter cette histoire et les autres en furent décontenancés : si ce Saiyajin devenait plus fort à chaque génération, celui que Végéta cherche devait être plus fort que tour ! Heureusement qu Trunks l’ait suivi, songea Gohan
Ils vitrent soudain d’énormes excavation et des ouvriers qui y travaillaient très dur, mais avec joie. Ils se rendirent compte que rie, ne se construisait, c’était même le contraire. Les ressources énergétiques étaient pompées et tout s’effondrait pour qu’un seul endroit est indéfiniment stable : le palais et ce qu’il y avait autour, car les pipe-lines allaient dans cette direction. Ce sera différent, mais en pire. Seule une poignée de soldat les surveillait. Mais certains étaient vieux et semblaient souffrir de leurs articulation et de rhumatismes en tout genre. Ils étaient réduits à l’état d’esclaves heureux de l’être. Gohan sentit son sang ne faire qu’un tour et vint aider un vieux qui tomba pour se relever sans se plaindre. Gohan accourut :

« Mais vous êtes fou ! Travailler à cet âge là, c’est trop !

_ Mais pas du tout, jeune homme. Je suis très content de travailler. Certes, je me fais vieux, mais je n’ai pas résisté à l’idée de servir un futur roi dont on nous disait qu’il accordait des privilèges à ses serviteurs les plus énergiques. »

Krilin aurait trouvé cela du plus haut comique si cette vision n’était pas triste à voir. Végéta se moquait bien des services que l’in lui rendait, aucune reconnaissance. Les gardes se rendirent compte de leur présence, fouets à la main :

« Allons, messieurs, veuillez quitter cette zone : c’est un chantier et vous dérangez les travailleurs.

_ Des travailleurs ? répondit Gohan hors de lui. M êmes les enfants subissent ce traitement, et on voit presque leur côtes ! Puis il remarqua un étrange objet brillant dans le coup. Il l’enleva d’un adulte qui passait par là et soudain :

« Hein mais que… Vous !! vous avez ravagé notre planète et vos nous traitez comme des insectes dociles ? C’est horrible !

_ C’est justement ce que vous êtes !! » Hurla le soldat en lançant son fouet qui fut stoppé par Yamcha. Celui cassa l’instrument et frappa le surveillant. Les autres accoururent et on entendit :

( https://www.youtube.com/watch?v=UR02XdRy8eE&feature=player_detailpage#t=492s )

« Ah c’est comme ça. Et bien que diriez vous de vous faire embaucher ? On vous apprendra à vous tenir à carreau. ALLONS-Y !! »
Et aussitôt ils sortirent leur matraque électriques et se jetèrent sur eux. Tout en se faufilant entre eux et les tabassant à coup de pieds, Gohan passa et détruisit certains systèmes de contrôle qui précipita les ouvriers à peine libérés derrière Krillin. Gohan se transforma en SSJ pour les effrayer, et le résultat est atteins. Nos amis décidèrent de ne pas trop libérer d’ouvriers car Paragas s’en mêlerait et Trunks avait dit à Gohan de se méfier de Broly. Donc ils retournèrent au palais… pour voir apparaitre Goku. Tous firent le point : un Saiyajin légendaire très puissant, un projet pour Béjita et un peuple esclave. Soudain, Goku vit Paragas :

« C’est donc toi, Kakarotto ? Bienvenue sur la nouvelle planète Végéta. Les amis du roi sont toujours bien accueillis ! »

_ Je n’emploie pas encore ce mot pour Béjita, et comment savez-vous pour ce nom ? Je préfére Son Goku !

_ Soit, mais je sais qui tu es car je le tiens de ton père : Baddack. C’était un de mes amis, sinon le meilleur. Entres donc , je suis sûr ( il s’adresse aux autres ) que votre estomac est un peu trop vide. »

Après un repas titanesque, Goku se balada un peu dans les environs, puis tomba sur Krilin.

« Et ces esclaves, ils vous ont parlé ?

_ Oui, mais il a fallu attendre, vu leur état de choc. Ils ont dit qu’une armée et deux Saiyajins ont attaqué leur planète et exercé un lavage de cerveau général. Ils ne se plaignaient pas, malgré leur état.
Pour le Saiyajin légendaire, ça commence à sentir le piège, cette histoire, et je n’aurais cru Végéta aussi tête en l’air comme baissée pour se jeter dans la gueule du loup.

_ Je ne m’en plains pas, il a de la ressource, et à ce que vous m’avez dit,n Tryunks est avec luin donx ça va. Mais tu as raison : nous verrons ce guerrier, mais pas où Paragas indique.

Trunks inspecta une autre planète avec une troupe de soldat, mais rien de concret ne fut trouvé. Végéta et Broly eurent le même résultat. A un moment, Broly eut un rictus de cruauté en voyant le Saiyajin de sang royal et chercha à l’étrangler, mais le diadème le retint au dernier moment. Tous rentrèrent, et Végéta tomba sur Goku :

« Kakarotto ? Tu tiens tant que cela à mourir sur le champ de bataille de mes mains ou de celles du Saiyajin légendaire ? En tout cas je tiens à en faire mon affaire personnelle. Alors interviens le moins possible ! »

( musique : https://www.youtube.com/watch?v=OUhFVAP_Id4&feature=player_detailpage#t=137s )

Alors que Goku allait repartir en souriant dans le dos de Végéta, Broly se retourna l’air incrédule, puis avec une expression fascinée, un rictus de colère. Paragas fit briller son objet puis Broly se calma, non sans perdre cet air plein de malice, comme un intérêt pervers.

FIN


CHAPITRE 4 :

Paragas était dérangé : d’un côté, ce Trunks était trop près de Végéta dont il voulait tant se débarrasser. Il apprit de Bejita que ce jeune homme était le fils de ce dernier, ce qui expliquait aisément cette proximité. Il fallait se débarrasser de ce pseudo-Saiyajin au plus vite, surtout que ce Saiyajin se méfiait de Broly, comme si il avait deviné que son fils cachait sa force, et surtout qu’il était sous contrôle. A ce propos, c’est cet appareil qui le gênait : Broly semblait de moins en moins contrôlable. En effet, Broly prenait de plus en plus de temps à écraser les troupes ennemies et cela devenait de plus en plus violent. Pourtant, les scientifiques lui firent passer une série de tests qui se révélèrent négatifs et le savant qui l’a inventé pour lui confirma. Puisque Broly semblait être dominé par sa puissance indépendamment de lui, alors en contrôlant le flux de sa force, on contrôle Broly, non sans risquer certaines crises où Broly pouvait devenir plus fort que ce que Paragas voulait.
C’était l’autre problème : Kakarotto. Ce Saiyajin exerçait une curieuse influence sur Broly qui devenait de plus en plus agressif et ses expressions se rapprochaient de la pure démence. Elle était presque celle d’autrefois, avant qu’il ne lui impose ce diadème.

FLASHBACK, 13 ans plus tôt :

( musique : https://www.youtube.com/watch?v=ppAQuUp5ggs&feature=player_detailpage#t=275s )

Broly se rua comme un fou furieux vers les troupes de soldats qui tiraient sans relâche sur lui. Broly attaquait grossièrement en ces temps-là, en fonçant dans le tas, cherchant à déchiqueter en utilisant le tranchant de sa main. Certains combattants n’hésitaient même pas à se suicider pour lui échapper, mais une fois, il se penchait sur certains cadavres et recueillait du sang dans une coupe qu’il avait sur lui, ou avec un récipient qu’il pouvait trouver. Il développa, en plus d’une grande et très précoce efficacité à la guerre, une tendance souvent morbide. Et le pire, c’est qu’elle changeait tout le temps : il semblait danser en tuant ses ennemis qu’il attirait parfois au clair des lunes et autres étoiles dans le ciel. Il savourait certains plaisirs nécrophiles ( qui se manifestaient occasionnellement dès le début de l‘adolescence : il tuait certains animaux et touillait dans leur ventre pour « voir quel effet cela procurait » ), et transformait certains champs de batailles en fresques sanglantes. Il positionnait certains cadavres en les enlaçant entre eux, se baignait dans leur sang, le léchait sur les têtes des victimes décapitées. Il chantait des fois, il était persuadé que ces atrocités pouvaient revêtir un semblant de beauté visuelle, même pour les mutilations les plus horribles à voir. Cela allait jusqu’au meurtre rituel ou au viol de jeunes enfants qu’il épargnait avant de leur incruster une partie de son pouvoir. Alors les victimes perdaient le contrôle sur eux-mêmes, se jetaient sur leurs familles pour terminer dans un bain de sang. Des inscriptions se retrouvaient sur certains murs, sans doute ses pensées sur le fait. Broly était un dangereux psychopathe, sadique, maniaque ( il voulait que ce soit réglé au détail près ), très pervers et dont la folie demeurait irréversibles. Le vieux Saiyajin se souvint de ce fameux soir, où a bien failli être tué :

« Broly, ça suffit ! Je crois qu’ils ont compris que tu étais le plus fort. Pourquoi t’acharner sur leurs cadavres ?

_ Pas de grands mots, voulez-vous ? Répliqua Broly. Je dois récolter un corps que je crois avoir vu enfoui en dessous : la beauté de cette fille est sans égal, et tant que le corps est encore chaud, il reste une possibilité. »

Son ton était suave, et passionné. Il se croyait être un artiste, se régalait des perversions qu’il peignait. Alors qu’il pointait son regard dans le tas de cadavres, Paragus lui attrapa la jambe et le fit tomber par terre. Broly perdit patience et douceur puis se rua sur son père. Son instinct d’enfant face à son père l’empêchait de le tuer, mais même avec sa puissance volontairement réduite, il continua de le frapper, et avant de se relever, il lui mordit la jambe jusqu’au sang, et chercha à lui écraser la tête. Mais il se rata et lui creva un œil. Broly se releva et chercha à l’étrangler, quand il entendit un râle : la fille n’était pas morte, mais n’en n’ avait plus pour longtemps. Le Saiyajin fou se jeta sur elle et lui insuffla son pouvoir : elle se reprit et envoya un regard lubrique à Broly, puis se lancèrent dans ce que ce dernier appelait le « ça va, ça vient ». Puis à la fin, Broly la décapita d’un seul coup et s ‘en aspergea de sang avant d’effectuer une sorte de danse bacchanale, le regard épanoui.

( musique : https://www.youtube.com/watch?v=3xR6JZiYzaU&feature=player_detailpage#t=210s )

Pour ces raisons, Paragas avait peur de son fils, peur de ce schizophrène sauvage et jamais rassasié puisqu’il découvrait toujours de nouvelles sensations et d’ « inspirations » . Un soir il entra discrètement dans sa chambre avec un serre-tête dan les mains. Il eut une pensée ce soir -là :

« J’aimerais que le jour où cet appareil tombera tu me pardonnes. Certes, je t’aurais privé de ces inspirations que tu aimes tant, mais elles risquent de me tuer un jour alors que j’aurais voulu t’apprendre d’autres choses. Mais je tiens te protéger : de tous nos ennemis, de ceux qui profiteraient de toi, et aussi, surtout de toi même. Tant d’horreurs ne sont bien ni pour toi, ni pour les autres. Je t’aimes, et je suis désolé d’en arriver là. »

Sur ce, il lui mit le diadème juste à temps car Broly l’avait vu et se débattait. Il augmenta sa puissance jusqu‘au niveau suffisant pour lui exploser la tête d’une pression des doigts. Il parla :

« Et bien, si vous voulez m’offrir des bijoux, vous pourriez au moins me laisser les essayer. Dit-il dans un rictus sadique.

_ Arrêtes, Broly ! Si je te l’ai mis, c’est pour ton bien !! Je tiens à te protéger de ces pulsions meurtrières dont tu te nourris en plus de ce nous mangeons et certaines victimes à peine tuées, de ta propre folie !!

_ JE VOUS VOIS VENIR !!! Hurla Broly après avoir éclaté de rire. Je vous entends parfois marmonner des insultes sur un certain Béjita, un roi décadent. Je ne suis pas un chasseur de primes disponible à vie. Et puis après tout, s’il faut mourir, autant que ce soit façon la plus élégante. » La voix retrouva ce ton doucereux mélangé à une gravité proche de la cruauté.

Il s’avança vers son père et chercha a comprimer le crâne pour l’écraser, mais le système s’activa aussitôt et Broly recula aussitôt, puis il se calma, et se précipita sur son père, la voix enrouée par l’émotion :

« Père, je vous ais faut mal ? Vous allez bien. Le ton était assez doux et reflétai une franchise enfantine. Paragas fut surpris et réconforté, puis le recoucha.

Au fil des années, tout deux vécurent une vie de famille idyllique, mais Paragas n’oublia pas sa rancœur envers le roi Végéta. Et même s’il est mort, son fils allait payer d’avoir simplement hérité du sang royal et de la fierté caractéristique. Alors Paragas apprit à Broly les subtilités du combat et en fit alors le tueur le plus parfait qu’il soit, une arme évolutive et relative. Il devenait capable de s’adapter à son adversaire et d’adopter la tactique adéquate pour le terrasser. Le Saiyajin en avait fait une implacable machine meurtrière que rien ni personne ne pouvait arrêter, et la destruction de la Galaxie du Sud en était une preuve irréfutable. Désormais, d’un tueur fou à lier, Broly était passé au statut d’arme absolue : indestructible et pourvue d’un potentiel destructeur illimité. Paragas, en observant le prince Bejita, comptait enfin faire de Broly un véritable ange de la mort.

fin du flashback.

En regardant Broly en train de dormir, Paragas s’inquiétait : Kakarotto était né le même jour que Broly, était à côté de lui, et tout deux jouaient joyeusement dans le berceau, mais Broly jouait surtout avec certaines parties du corps comme le nombril et les cheveux qu’il s’amusait à tripoter. Sous le regard bienveillant des scientifiques, le constat était formel : Broly égalait l’élite, avec 10000 unités. Et Broly, Paragas s’en souvenait, avait des sensations de manque : il fallait qu’il se serve de sa force et que le sang coule à flot. Il se mit à parle à voix basse :

« Enfoiré de Baddack… tu as permis à un enfant de naitre tout en le dédaignant, et maintenant cela va retomber sur moi. Quant à toi roi Végéta, regardes bien : ton descendant ne va pas tarder à faire connaissance avec toi. »
Sur ces mots il enclencha son système de régulation du flux et le régla à 90% de ce qui était contrôlable. Broly qui s’était levé car il dormait mal, se figea aussitôt, puis sortit sans remarquer la présence de son père. Enfin, c’est-ce que ce dernier croyait tout en ajoutant à voix base, de nouveau :

« Et en plus, j’ai hâte de voir de quoi Broly est capable contre de puissants Super Saiyajins. »

Trunks dormait paisiblement dans sa grande chambre, à l’étage où résidait aussi son père. Il était aussi plongé dans ses pensées : avec l’histoire que Gohan et Krillin lui ont raconté, il était sur que Paragas ne voulait aucunement servir fidèlement son père, mais l’éliminer d’une façon ou d’une autre. Et le cas de Broly l’intrigua tout autant. Soudain, il vit un visage, un air agressif et un grand sourire, trop grand pour être sympathique. Son visiteur nocturne plongea sa main pour le frapper, mais Trunks l ‘évita juste à temps. Trunks se remit sur ses pieds et lança :

« Broly ?! Qui t’a ordonné de me tuer ? Son interlocuteur se contenta de bafouiller :

_ La voix… mon… Bejita, dois tuer le prince…descendant… Graaahhh !! »
Broly se jeta sur Trunks qui n’eut plus de doute : le simple fait que ce guerrier docile voulait le tuer prouve qu’il était, aux yeux de leur « hébergeur », un contretemps très fâcheux à faire disparaitre au plus vite, puis faire croire à un accident ou une fuite. Le fils du pré-monarque Saiyajin sort du palais par la fenêtre et espérait avertir Bejita…dont la chambre fut insonorisée et barricadée sue ordre de Paragas. Ce dernier regarda par la fenêtre : d’ici quelques minutes, cela devrait être réglé. Puis il retourna dans son lit, avec l’appareil dans sa main, au cas où.

( musique : https://www.youtube.com/watch?v=xwDKTR2ozkg&feature=player_detailpage#t=299s )

Dehors, le combat s’engagea et Trunks vit rarement une telle raideur d’expression. Broly l’attaquait froidement et silencieusement, en cherchant la méthode adaptée, et à chaque fois que Trunks lançait ses techniques, Broly se défendait pour chercher la parade la plus efficace. De plus, le métis était abasourdi par tant de violence : si les cyborgs se montraient très « joueurs », Broly se montrait très brutal, malgré une certaines cohérence et un style dans ses mouvements : une sauvagerie très contenue et de façon conventionnelle. Il remarqua aussi que Broly affichait une colère crispée, comme si quelque chose le bloquait entre lui et sa furie. C’est là qu’il comprit : ce diadème était bien là pour réguler a puissance de façon à ce qu’il ne fasse du dégât que lorsque l’on le lui ordonnait. Et c’était Paragas qui donnait ces ordres. Trunks était alors convaincu que tout cela était une duperie, voire un piège, et que probablement, ce serviteur allait tuer son père le moment décisif. Il esquiva les boules de feu juste à temps, mais Broly en profita pour le marteler de coups de poings et pieds. Le sang commença à couler et Trunks ne faisait, de son côté, rien du tout à Broly, malgré son état de Super Saiyajin : aucune égratignure pour les attaques qui passaient le mur d’acier qui servait de défense à Broly. Autre chose : Ce Super Saiyajin n’arrêtait pas de balancer des boules de feu très puissantes et n’était toujours pas fatigués : ses reverses d’énergies étaient donc toujours remplies à plein régime.


Broly sentit soudainement quelque chose le pousser dans le dos. Il ne se retourna que pour voir er sentier un poings lui écraser le visage, mais sans dégâts. C’était Goku et Trunks fut ravi de le voir :

« Goku-san ! Tu arrives juste à temps. Un peu de retard et je serais réduis à un pantin disloqué.

_ On en reparlera : j’ai ressenti ton énergie et il semblerait que Broly ait plus de force que je ne l’aurais imaginé. Si cela se trouve, c’est celle que j’avais ressenti dans ce qui reste de la Galaxie du Sud. »

Broly scruta le nouvel arrivant. Il l’avait vu une première fois et à cause de cela, il n’a pas trouvé le sommeil, c’était avant qu’il ne reçoive l’ordre de tuer. Ce visage l’avait déstabilisé un moment, puis cette sensation le rongea. Il chercha au plus profond de lui, puis sentit un vide, un manque : il voyait ce visage puis entendait des rires mêlés à des pleurs. Il chercha à se souvenir du nom : à l’instant il avait entendu « Goku-san », donc on l’ appelait Son Goku. Il parla :

« Tu es celui appelé Son Goku ?

_ Exact : j’ai reçu ce nom et j’ai grandi avec. C’est pourquoi tu devras t’en contenter ! »

( musique : https://www.youtube.com/watch?v=tCSQpxTmkFs&feature=player_detailpage#t=4s )

Mais cela ne satisfaisait pas le Saiyajin : il avait entendu un autre nom, venant de son père : Kakarotto, ou Baddack. Non, c’était bien Kakarotto, mais pourquoi être si intrigué, attiré et énervé devant un homme qu’il ne connaissait presque pas ? Et pourtant, i pouvait se souvenir de sa naissance, chose rarissime dans l’univers, parait-il. Ce bébé, ce homme l’avait fasciné, puis gêné. En tout cas, instinctivement, il savait qui il était : ce devrait être de sa faute si l’inspiration se déformait, si la musique qu’il imaginait tournait à la cacophonie. Alors :

« Toi… C’est la première fois que l’on se parle, mais on se connait de vue, moi plus que toi ( cette parole surprit Goku ). Mais tu n’auras pas à te poser plus de questions : dès que je te vois, tout dégringole en moi, et en même temps, je semble avoir un intérêt. Pour mes inspirations en tout cas, sur ce… JE VAIS TE TUER, KAKAROTTOOOO !!! »

Sur ces mots, la force de Broly monta d’un coup, hors de l’appareil. Paragas s’en inquiéta et fila sur le champ de bataille : Kakarotto allait tout gâcher !

Broly fonça sur les deux en même temps qui passèrent en SSJ Dankai : les coups eurent plus d’effets, mais les égratignures étaient peu nombreuses, et ridicules. En revanche, de leur côté, ils saignaient de plus en plus, et Broly s’acharnait sur eux, comme un boxeur sous testostérone sur un punching-ball. Trunks se prit une boule de feu verte puis une autre, qui se changea en une rafale de lasers , le mettant à terre. Goku lui envoya un senzu qui était avec d’autres dans sa poche et combattit l’assassin, sans grand succès : Broly encaissait ou parait sans difficulté et il imposait une cadence infernale à son ennemi. Goku se mit à 80% de se capacités et bloqua plus facilement les coups, bien qu’ils lui faisaient très mal aux bras. Broly se fit bloqué et n’eut d’autres solutions pour frapper : il se dégagea, attrapa le bras doit de Goku, puis fondit sur l’épaule de Goku, la boche ouverte puis instantanément refermée.

( musique : https://www.youtube.com/watch?v=UR02XdRy8eE&feature=player_detailpage#t=151s )

Il lui mordit l’épaule jusqu’au sang et en récolta un morceau qui fut expulsé tout de suite après avoir sucé le sang comme avec un chewing-gum avant de lécher le sang sur son visage. Goku gémissait de douleur en parlant :

« Arrgh… t’es complètement cinglé ?!! C’est dégoutant ! »

En guise de réponse, Broly attaqua Trunks et le matraqua de de coups de poings fulgurants et lourds : Trunks dut passer en SSJ Dai 3 Dankai pour tout encaisser, puis réduisit la masse de muscles pour se dégager et frapper Broly qui ressentait à peine les coups, trop alléché par l’odeur du sang, trop fasciné par ces combattants qui jouaient si bien la musique de la guerre. Il répliqua aussitôt et frappa Trunks avec le haut du front pour faire encore mal : il lui frappa le crane à plusieurs reprises et l’éjecta d’un coup de pied. Goku accourut mais subit le même traitement et se fit frapper au niveau de la morsure, ce qui lui fit hurler de douleur, mais de façon trop soudaine selon Broly qui le fit taire pour ne plus entendre cette cacophonie à coups de direct dans la tête et de pieds sur le thorax. Puis il en prit un pour frapper sur l’autre : Goku sur Trunks, qui souffrait beaucoup, puis se fit bastonner de nouveau, faisant couler le sang sur les bras. Broly en profita pour prendre une pierre coupante et recueillit un peu de sang dans une petite bouteille qu’il avait sur lui et la vida ensuite d’un trait, puis ses yeux d’un fou revinrent sur Trunks, traduisant cette démence du tueur prêt à frapper. Sa force augmenta encore et Goku le remarqua : il demanda fortement pour la galaxie du Sud.

« Tu veux parler de tous ces bougres qui ont envoyé leurs soldats vers la mort ? Ce n’étaient que les fous sans espoir ! Et ce fut merveilleux, car je recommençais à retrouver mes aspirations perdues !!! »

Soudain, il sentit son père arriver. Il s’arrêta et reprit sa forme normale avant de bégayer :

( musique : https://www.youtube.com/watch?v=VNJ3Yzg0vTc&feature=player_detailpage#t=64s )

« Echec, mais pas mat. Toi…et l’autre… entendrez la symphonie…je jouerai…votre requiem. »

Il revint vers son père et s’excusa pour le remue-méninges. Avec un pointe d’inquiétude, Paragas le rassura et le ramena au palais. Broly eut tout de même une pensée avant que son père n’active le bracelet-contrôleur :

« J’ai enfin trouvé le chef-d’œuvre, l’accomplissement. Et la prochaine fois, j’aurais sa peau. »

Goku revint voir Trunks et tous deux mangèrent un senzu et se soignèrent en toute discrétion dans une salle de soin. Goku était sur que Broly avait ravagé la galaxie du Sud : il était le Super Saiyajin légendaire, et semblait plus vicieux, pervers et dangereux que Freezer.

FIN

Voilà les 3 chapitres. Bientôt j'écrirais le chapitre 8 sur Union Sacrée. A vos commentaires et à plus.

voilà


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FIC Broly le Super Guerrier

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